
Celui qui est affectueusement surnommé “Le lion de la Commune de Karisimbi" est un jeune acteur politique apprécié dans la province du Nord Kivu. Du haut de ses trente ans dans la ville de Goma, il est le précurseur de la proposition de la délocalisation des camps Katindo et Muzenze d’au milieu de la ville touristique de la RDC. Avec une page facebook (Yvan Simweray-Programme politique) visitée chaque jour par plus de 5300 personnes sans booster; Yvan Simweray est un jeune leader engagé dans la lutte avec une énergie positive incroyable, un dynamisme exceptionnel et un leadership hors pair ayant des fortes bases à Goma, à Masisi, à Rutshuru, à Walikale, à Nyiragongo et à Lubero. Présent dans la sphère politique depuis 2011, celui qui avant décembre 2021 avait fait douter la MONUSCO sur un probable prorogation du mandat en RDC a toujours répondu à la question de savoir «pourquoi avoir embrassé la politique si jeune?» que «... Toute réussite exige un temps important dans la préparation car lorsque la préparation croise l’opportunité, le succès est inévitable.!»(Yvan Simweray).

Ayant assumé deux postes au sein de la classe politique du Nord Kivu entre autre Rapporter Interfédéral du Parti Liberal pour le Développement dont il était la deuxième figure de proue connue après celle de son Président national au travers ses multiples interventions médiatiques; Yvan Simweray a pendant trois ans assumé le rôle du Président Interfédéral et coordonnateur de l’implantation zone Est de la Dynamique Congo Uni post qu’il quittera faute au non respect des engagé le 06 Décembre 2021.
Yvan Simweray est très apprécié à cause de ses analyses et points de vue médiatiques et au niveau de la presse. Et quand on lui demande pourquoi cette forte présence à la presse et aux médias, l’homme des offensives politiques a toujours répondu que «la communication est à la politique, ce que le ballon est au football. Plus vous en avez la possession plus vous multipliez vos chances de marquer un but!» (Yvan Simweray). Plébiscité comme jeune politique le plus populaire par “SIMAMA GOMA INSTITUTE”, Yvan Simweray a connu la prison et avait été sérieusement tabassé par la police pour avoir manifesté contre l’instauration d’une nouvelle dictature kabiliste et pour le respect du cycle démocratique le 08 décembre 2017. Ce jeune fervent chrétien pratiquant a toujours refusé de médiatiser ses différents dons et actions de charité qu’il ipose ça et là car il suppose que cela est contraire aux valeurs et éthiques de sa foi.

Ayant une vision transformationnelle de la RDC, ce juriste constitutionnel et criminologue de formation aime le dire à qui bon veut l’entendre que je cite : «La RDC n’a plus besoin du changement. Depuis 1960 nous avons essayé des changements, cependant rien de bon s’était produit. Un moment on a cru que l’homme blanc était le problème du Congo! On a crié haut qu’il nous fallait un changement. L’indépendance est venue du coup on a cru que notre vu allait changer. Cela a été éphémère que des troubles ne tardèrent pas à se manifester. Du coup Emery Patrice Lumumba a été présenté comme le problème. Donc il fallait de nouveau un changement. Lumumba sacrifié de la manière la plus atroce, on croyait que cela suffisait pour améliorer les choses dans ce pays... mais hélas! Kasavubu va devenir le nouveau problème et il fallait le changer. Une fois au pouvoir, Mobutu alla plus loin jusqu’à croire que le nom du pays était le véritable problème et qu’il fallait le changer. Mais malheureusement la situation s’empirait davantage jusqu’à ce que Mobutu à son tour sera présenté comme le véritable problème et qu’il nous fallait encore un changement. Mzee Kabila est venu avec son changement qui était appelé “libération". Il y eut beaucoup d’espoir mais ce changement avait eu comme effet la guerre et l’insécurité à l’Est du pays qui perdurent jusqu’aujourd’hui. Il fallait encore changer car Mzee était devenu à son tour le véritable problème. Il va être assassiné dans des circonstances les plus floues de l’histoire de l’humanité. Joseph Kabila au pouvoir sera aussi présenté comme le problème et il fallait encore un changement. Félix Tshisekedi arrive au pouvoir, mais trois ans après encore les gens exigent toujours le fameux changement.
Avec cette longue histoire de notre nation, je pense que ce pays n’a plus besoin du changement. Ce qui faut à ce pays c’est plutôt la transformation. La différence? C’est simple: Prenez un morceau de bois, jetez le dans l’eau. Après un temps il aura subi un changement car il était sec il sera mouillé mais placez le sous le soleil, revenez après un temps le changement aura disparu car le bois reviendra à sa nature initiale. Ça c’est l’effet du changement.

Mais cependant prenez ce même morceau de bois, jetez le au feu, revenez après un temps vous allez vous rendre compte que le bois sera transformé en braise! Et si le feu était très ardent, le bois sera transformé en cendre. Le changement est souvent superficiel. Il se manifeste juste à l’extérieur mais à l’intérieur la chose reste ce qu’elle est. Mais la transformation est non seulement extérieure mais surtout intérieure car elle modifie même la valeur intrinsèque de la chose.
Il faut transformer tout au Congo: la sphère politique, les lois, les mœurs et éthiques, tout. Comment comprendre que dans un pays où les gens ont besoin des entreprises certains dépensent des millions pour créer des partis politiques? Et nous en sommes à plus des 700... il faut la transformation de l’homme congolais.»(Yvan Simweray).

Ce qui est sûr, au travers sa rhétorique, son éloquence, ses compétences intellectuelles, son expérience politique et ses formations; le lion de la Commune de Karisimbi semble être préparé à assumer des grandes responsabilités dans ce processus de transformation. On le voit tantôt organisant des campagnes de sensibilisation; des marches de contestation; ou tantôt des publications d’éveil de la conscience. Il se veut le fer de lance dans le combat du renouvellement de la sphère politique de la République Démocratique du Congo.

Pourra-t-il décrocher un siège en 2023 pour sa première candidature pour mieux commencer à mettre ses compétences au service des populations locales? Seul l’avenir nous dira plus. Cependant pendant que nous y sommes encore, ce jeune leader a toujours marqué les esprits par sa simplicité et sa tranquillité que quand on lui dit de se définir; il aime répondre: “je suis une force dans la simplicité et une puissance dans la tranquillité.”
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